13525Lorsqu’on parle de faits hallucinants concernant les femmes de ménages, on n’est souvent pas au bout de nos peines. Un homme de 24 ans est condamné à 13 ans de réclusion criminelle pour avoir violé une femme de ménage dans un locale à poubelle. En effet, les évènements se déroulent en avril 2012 au Havre (Seine-Martime).

Des faits qui laissent perplexes

La femme de ménage âgée d’une cinquantaine d’années fut violemment agressée par un homme dans le quartier du Rond-Point au Havre. En effet, entrée fraichement en poste aux environs de 6h, elle décide d’assumer son travail en sortant les poubelles. L’homme qui lui adressera un bonjour, serait sur le point de la violer. Peu de temps après, il fera toute de suite parler de lui en agressant la femme, puis la viole.

Selon les informations recueillies, la femme de ménage se serait débattu sans avoir gain de causes. A plusieurs reprises, elle a crié mais malheureusement c’était la chance du violeur. Malgré que les cris de détresses de la femme de ménage eu été entendus par le voisinage, il n’a pas manifesté son désir de sauver la femme. Pire, l’agresseur a menacé la femme de ménage de faire du mal à sa famille si elle rouspétait outre mesure. Il tenta et réussit après son acte odieux à emporter le téléphone de la femme. Pauvre dame, comme si le malheur lui était destinée.

La police dénoue et le tribunal tranche l’affaire

Comme on le dit bien souvent les délits sont toujours punis même après plusieurs années. Coup du sort, le jeune roumain de 24 ans s’est vu rattrapé par la police, trois mois après son acte. Il est confondu par son ADN et le téléphone qu’il avait arraché chez la femme de ménage. Le jeune nie les faits devant la cour d’assises à Rouen. Notons par ailleurs qu’il fait objet d’accusation pour fait de viols et exhibitions sexuelles.

Toutes les interrogations auxquelles, il a fait l’objet s’étaient soldées par de faux témoignages. Même si l’accusé encourait 15 ans de réclusion criminelle, sa peine fut revue à la baisse avec 13 ans, à 5 ans de suivi socio-judiciaire, qui intègre une obligation pour le jeune homme de suivre des soins mentales, une interdiction de présence au Havre une défense totale de contact avec les deux femmes c’est-à-dire la femme de ménage et celle devant laquelle il s’était exhibé.

Depuis cette condamnation, la femme de ménage a repris son travail dans l’immeuble ou a eu lieu le viol.